À la suite d’un accident familial, Icare, alias Courgette, se retrouve dans un « foyer pour enfants écorchés » où il rencontre Simon, Ahmed, et la mystérieuse Camille. Là où le jeu et la poésie deviennent une nécessité, ils vont apprendre à se construire, à « s’élever » et à « recoudre » leur coeur. Et puis il y a Raymond, le gendarme, qui va peu à peu endosser le rôle de père de substitution, et qui, grâce à Courgette, va aussi reprendre goût à la vie. Rencontrer autrui devient alors la possibilité d’un espoir. Cette adaptation du roman de Gilles Paris, Autobiographie d’une Courgette, raconte une histoire pleine de lumière et de musique qui s’adresse aux petits comme aux plus grands.
Les musiciens de Vidala brûlent d’une passion commune pour la “Nueva Canción” – cette enfant des folklores des Andes qui, portée par le souffle de la poésie, s’est épanouie à par tir des années 60 sur tout le continent sud-américain. L’expression « on ne peut pas faire une révolution sans chansons » résonne parfaitement avec les valeurs de fraternité, égalité, solidarité, volupté, unité et tant d’autres rythmes de coeur, tant de couleurs qui ramènent le public à un humanisme profond aux sonorités légères. Leur prestation est une invitation à un voyage musical et populaire, sur les pas des chants contestataires sud-américains.
D’APRÈS JEAN TEULÉ En 1663, Louis-Henri de Pardaillan, marquis de Montespan, et la charmante Françoise de Rochechouart, tombent fous d’amour et se marient. Louis-Henri part donc en guerre pour Louis XIV, et se réjouit durant son absence que Françoise soit introduite à la cour auprès de la Reine. Mais c’est sans compter sur les appétits du roi pour sa tendre épouse. La nouvelle favorite ! Prêt à tout pour récupérer celle « qu’on n’aime qu’une fois dans une vie », il déclare une guerre sans relâche contre le monarque, refusant toutes faveurs attachées à sa condition de cocu royal. Cette adaptation du roman de Jean Teulé reprend l’univers du célèbre écrivain pour mieux en faire ressortir la dimension comique, fantastique et son lot d’émerveillement.
Après plus de deux millions de spectateurs en deux spectacles, Le Comte de Bouderbala revient pour une troisième édition corsée.
Pour ce spectacle de la maturité, les spectateurs le découvrent avec plus de responsabilités, d’engagement et d’improvisations. Il délivre un stand up où il se lâche enfin entre thèmes d’actualité, sujets intemporels et anecdotes personnelles pour le plus grand plaisir de son patron : Le Public. Celui qui revendique qu’ « il y a toujours une pensée politique derrière un spectacle » aborde des sujets de société actuels par des rires en cascade. Une invitation à s’en moquer … royalement !
